Le FN applaudi sur la pétition CONTRE les containers

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Le Front National avait déjà relayé le calvaire subit par Mme GUETTA-DELANGE, relatif à un problème de gestion des ordures dans la commune d’Arcueil. Un collectif d'habitants mené par Mmes GUETTA-DELANGE et SADOINE dépose en Mairie une pétition citoyenne de plus de 260 signatures sur ce sujet. Le Front National réaffirme alors en séance du Conseil Municipal son soutien aux habitants du Chaperon Vert, contre le dispositif des containers enterrés imposé par la municipalité. Les retours positifs et les applaudissements des pétitionnaires sur cette intervention ne manqueront pas d'irriter la municipalité qui, mise en difficulté, ira jusqu'à couper la parole des pétitionnaires pour étouffer le débat.

Ecouter les phrases clés
« Une pétition reçue à propos du dispositif, heu... des containers-poubelles enterrés » - Daniel BREUILLER
« Ca ne signifie pas, bien évidemment, que les demandeurs sont entendus au sens d’une acceptation, à priori, de leur demandes... » - Daniel BREUILLER
« Une pétition signée, par un peu plus de 260 habitants du quartier » - Citoyens Arcueillais
« Deux années d’expérimentation peu satisfaisantes, selon nous » - Citoyens Arcueillais
« Habitants attachés à notre ville, et à sa propreté, nous ne pouvions rester passif, et accepter l’incivilité comme une fatalité » - Citoyens Arcueillais
« Les containers enterrés, tels qu’ils sont installés dans notre quartier, posent des problèmes certains, aux riverains que nous sommes » - Citoyens Arcueillais
« Ils constituent autant de nuisances visuelles, qu’odorantes ou même d’hygiène et de salubrité publiques » - Citoyens Arcueillais
« Des personnes nous ont signalé la présence de rats, souris et cafards » - Citoyens Arcueillais
« Ce système de containers enterrés n’est pas une... mmmhhh... initiative purement Arcueillaise puisqu’il zexi-l-existe maintenant... dans d’nombreuses zot villes » - Christian MÉTAIRIE
« Il... il a montré, une certaine efficacité, heu... » - Christian MÉTAIRIE
« Un... Un gain économique, puisque y’a diminution du nombre de collectes » - Christian MÉTAIRIE
« Un gain environnemental, puisque y’a diminution du nombre et de la fréquence des camions qui ramassent, heu... les... containers » - Christian MÉTAIRIE
« Parce que effectivement les containers étaient pleins » - Christian MÉTAIRIE
« Et la saturation des bornes, qui est source aussi, heu... de désordre » - Christian MÉTAIRIE
« Des désordres ont subsisté » - Christian MÉTAIRIE
« On peut considérer que globalement, ce-le système fonctionne correctement, sans désordre important » - Christian MÉTAIRIE
« Une lettre du Maire a été diffusée à tous les habitants les appelant à, heu, respecter leur environnement » - Christian MÉTAIRIE
« Heu, la problématique de la communication... est effectivement à renfon... à renforcer » - Christian MÉTAIRIE
« Un certain nombre de problèmes qui subsistent » - Christian MÉTAIRIE
« Voilà ce que je voulais dire pour rappeler un peu l’historique de la situation, et l’état dans lequel nous sommes aujourd’hui » - Christian MÉTAIRIE
« Donc c’est des-c’est des problèmes qui sont difficiles » - Daniel BREUILLER
« On est sur des sujets qui sont des sujets difficiles » - Daniel BREUILLER
« C’est-c’est un sujet qui est un sujet... complexe » - Daniel BREUILLER
« C’est des problèmes très complexes en réalité à, à gérer » - Karim BAOUZ
« C’est des problèmes quand même hyper compliqués » - Karim BAOUZ
« Oui, M. le Maire, avant de commencer mon intervention, je tiens à rappeler que la décision visant à installer ces containers fut prise à une date antérieure à notre élection dans ce Conseil Municipal » - Denis TRUFFAUT
« Nous n’avons pas eu à ce jour l’occasion de nous exprimer publiquement sur le sujet, et nous profiterons en effet de la présentation de cette pétition pour exprimer notre position » - Denis TRUFFAUT
« Alors permettez-moi M. le Maire d’introduire un bref récapitulatif des évènements ayant mené à cette pétition » - Denis TRUFFAUT
« Un récapitulatif chronologique et numérique qui, bien que non-exhaustif, permettra de cadrer bien des choses » - Denis TRUFFAUT
« Le 3 janvier 2015, Mme Déborah GUETTA-DELANGE publie une vidéo intitulée : Arcueil : Villa Mélanie (Chaperon Vert) » - Denis TRUFFAUT
« Une vidéo à la fois locale et virale, relativement populaire il faut le dire, puisque elle fait à ce jour l’objet plus de 850 visionnages » - Denis TRUFFAUT
« Mme GUETTA-DELANGE interpellera notamment par le biais de son compte Twitter, puisqu’elle diffuse la vidéo sur son compte Twitter sous le pseudonyme @debodelange; elle interpellera par ce biais, sans grand succès toutefois, plusieurs élus de la municipalité, dont Daniel BREUILLER, Christian METAIRIE, Sophie LERICQ, Constance BLANCHARD, et Emmanuel BLUM, heu, qui vient de, heu, d’être remplacé ce soir » - Denis TRUFFAUT
« Le 15 Janvier 2015, une lettre est distribuée dans plusieurs boîtes de la villa Mélanie » - Denis TRUFFAUT
« La formulation du courrier laisse entendre qu’il est destiné à la personne à l’origine de cette vidéo, dont la municipalité semble-t-il, ignore encore, à cette date, l’identité réelle » - Denis TRUFFAUT
« Ce courrier, sans grande envergure et qui ne fait pas acte de grande littérature, ressemble fort à une tentative maladroite d’étouffer les tensions et l’émoi, pourtant légitimes, décrits et suscités dans la vidéo » - Denis TRUFFAUT
« Le 20 janvier 2015, le Front National prend contact avec Mme GUETTA-DELANGE » - Denis TRUFFAUT
« Celle-ci nous explique qu’elle souhaite engager des poursuites judiciaires contre la municipalité » - Denis TRUFFAUT
« Après, pardon, un bref examen du dossier, nous lui suggérons un angle d’attaque différent, c’est-à-dire orienter de préférence son combat sur les axes médiatiques et démocratiques, tout d’abord en interpellant des relais d’opinions tels que des spécialistes de la presse locale, et, second biais, en amorçant une pétition citoyenne, qui devra atteindre au moins 200 signatures afin d’être étudiée en Conseil Municipal » - Denis TRUFFAUT
« Le 23 Janvier 2015, le site Internet arcueil-cachan.fr publie un article intitulé “Chaperon vert : une maman filme une décharge de rue” » - Denis TRUFFAUT
« Un article qui fait écho à cette fameuse vidéo, et qui met également en lumière quelques extraits des indénombrables photos prises par Mme GUETTA-DELANGE » - Denis TRUFFAUT
« Des photos où l’on aperçoit, aux abords des containers, un amoncellement de détritus parmi lesquels : des serviettes hygiéniques, des rouleaux de papier toilette, des couches culotte usagées, ...etc.  » - Denis TRUFFAUT
« Bon appétit, j’espère que tout le monde a mangé » - Denis TRUFFAUT
« L’article enfin, fait une référence à un tract du Front National datant de mars 2014, portant sur une thématique connexe à celle défendue par Mme GUETTA-DELANGE » - Denis TRUFFAUT
« Le Front National, qui, pendant la campagne des élections municipales de 2014, avait en effet été le seul mouvement politique à dénoncer l’insalubrité de notre commune, photos à l’appui » - Denis TRUFFAUT
« Si nous sommes ici, ce soir, pour en parler, hé bien c’est bien que cette affaire d’insalubrité est une nuisance constante dans la commune d’Arcueil, au moins depuis mars 2014 » - Denis TRUFFAUT
« Le 29 Janvier 2015, le journal “Le Parisien”, dans son édition locale du Val-de-Marne, publie un article sur les difficultés rencontrées par Mme GUETTA-DELANGE » - Denis TRUFFAUT
« Cette couverture médiatique a pour objectif d’alerter une première fois la municipalité, par médias interposés, sur la gêne évidente occasionnée par ce problème ordurier, qui relève vraisemblablement soit de sa responsabilité, soit de son périmètre géographique d’intervention » - Denis TRUFFAUT
« Le 7 Mars 2015, alertés par les citoyens sur la perpétuation des nuisances visuelles et olfactives, mon collègue Eric MARTIN, Conseiller Municipal Front National, me donne rendez-vous à l’extension du Chaperon Vert, un quartier duquel il est résident » - Denis TRUFFAUT
« Sur place, nous constatons –avec désarroi, et exactitude, d’ailleurs– ce qui nous a été rapporté, à savoir que plus de trois mois après son signalement par Mme GUETTA-DELANGE aucune action concrète et suffisante n’a été entreprise par la municipalité d’Arcueil pour résoudre ce problème » - Denis TRUFFAUT
« Le Front National, comme tous les citoyens de notre commune affectés par ces nuisances, n’a eu d’autre choix que de se résoudre à effectuer le travail que la municipalité était visiblement incapable de prendre en charge, c’est-à-dire retrousser ses manches, et réaliser des actions de nettoyage aux abords des containers » - Denis TRUFFAUT
« A l’issue de ces opérations de nettoyage, nous nous sommes rendus compte qu’il ne fallait pas plus de 10 à 15 minutes pour nettoyer les abords d’un container, avec le matériel adapté s’entend, et donc que la chose était tout à fait possible, à fortiori pour une municipalité dont le budget est quasiment de 50 millions d’euros » - Denis TRUFFAUT
« Le 18 Août 2015, Mme GUETTA-DELANGE est rejointe dans son combat par Mme Nathalie SADOINE » - Denis TRUFFAUT
« Mme SADOINE prend alors à sa charge le volet démocratique de l’action citoyenne, en amorçant une pétition qui récolte à ce jour l’équivalent de plusieurs centaines signatures, autrement dit un nombre largement suffisant pour être présentée ce soir en Conseil Municipal » - Denis TRUFFAUT
« Le 10 Septembre 2015, le succès de cette pétition est relayé par le journal “Le Parisien”, lequel annonce le dépôt de la pétition en mairie, et son étude au Conseil Municipal du 24 Septembre 2015, c’est-à-dire, aujourd’hui » - Denis TRUFFAUT
« 9 mois » - Denis TRUFFAUT
« Voilà le délai de gestation de cette démarche citoyenne, qui relève de ce que l’on appeler la véritable démocratie participative » - Denis TRUFFAUT
« Je tiens d’ailleurs à saluer le courage et la persévérance de celles et ceux qui ont animé et porté cette pétition en Conseil Municipal, dans cette bataille du pot de terre contre le pot de fer, et, oserais-je le dire, contre le rideau de fer » - Denis TRUFFAUT
« Car en effet, quel ersatz de démocratie, que celle dans laquelle les citoyens sont sans arrêt rabaissés et ne peuvent s’exprimer » - Denis TRUFFAUT
« Je rappelle ici les propos -ô combien dédaigneux- tenus par la municipalité, lors d’un précédent Conseil Municipal, il y a tout juste un an » - Denis TRUFFAUT
« Ça devient un p’tit peu énervant de, heu... dire, heu... moi je suis... moi je suis l’représentant des habitants » - Christian MÉTAIRIE
« Vous êtes le représentant d’un p’tit nombre d’habitants » - Christian MÉTAIRIE
« La concertation... Ca aussi été évoqué tout à l’heure, heu... la ZAC du Chaperon Vert, heu... les gens découvrent, heu... pas discuté avec eux des projets... C’est pas vrai sur l’Chaperon Vert » - Christian MÉTAIRIE
« Nous avons travaillé avec des ateliers, qui ont réuni des dizaines et des dizaines d’habitants... 50 environ... hein... » - Christian MÉTAIRIE
« Travail qui été a déjà distribué... discuté, déjà pré-construit, déjà pré-pensé... » - Christian MÉTAIRIE
« Fin de citation » - Denis TRUFFAUT
« Les spectateurs les plus assidus du Conseil Municipal auront bien évidemment reconnu là, la prose de M. MÉTAIRIE, premier adjoint au Maire, qui parle d’un groupe de travail de 50 personnes » - Denis TRUFFAUT
« Alors quand 50 personnes décident pour 20 000 habitants... » - Denis TRUFFAUT
(Indignation des Conseillers Municipaux de Gauche)
« Merci, merci... » - Denis TRUFFAUT
« Alors quand 50 personnes décident pour 20 000 habitants, je ne sais pas si on peut véritablement parler de démocratie » - Denis TRUFFAUT
« La véritable démocratie, c’est quand on interroge le peuple » - Denis TRUFFAUT
« Pourquoi, sur cette épineuse question, ne pas avoir fait un référendum ? » - Denis TRUFFAUT
« Je vous rappelle M. le Maire, qu’en tant qu’édile de la commune, vous avez le pouvoir d’organiser des référendums » - Denis TRUFFAUT
« Pourquoi n’avez-vous pas fait de référendum ? » - Denis TRUFFAUT
« Dans les villes Front National, on organise souvent des référendums » - Denis TRUFFAUT
« Et le peuple Français apprécie qu’on lui demande son avis » - Denis TRUFFAUT
(Commentaires des Conseillers Municipaux de Gauche)
« Quant à l’expression “prêt-à-penser”, que dire, sinon qu’il s’agit là d’un des piliers fondateurs de la doctrine et du régime socialo-communiste » - Denis TRUFFAUT
« Une idéologie pourtant mise à mal, ce soir, par la population d’Arcueil, cette collectivité à qui vous aviez juré de faire consommer vos idées pré-pensées » - Denis TRUFFAUT
« Quel retour de bâton en effet que vous ayez à entendre ce soir publiquement la colère, légitime, des citoyens que vous n’avez daigné, ni consulter, ni écouter » - Denis TRUFFAUT
« J’évoquais en effet, tout à l’heure, le fait que Mme GUETTA-DELANGE avait tenté d’interpeller, à plusieurs reprises, les élus de la municipalité » - Denis TRUFFAUT
« Mais... » - Denis TRUFFAUT
« J’ai omis de préciser combien de fois » - Denis TRUFFAUT
« J’ai fait un petit calcul » - Denis TRUFFAUT
« Depuis le 27 mars, date de l’entre-deux tours des élections départementales : » - Denis TRUFFAUT
« Sophie LERICQ aurait ainsi été interpellée près de 115 fois sur Twitter » - Denis TRUFFAUT
« Emmanuel BLUM 439 fois » - Denis TRUFFAUT
« Constance BLANCHARD 626 fois » - Denis TRUFFAUT
« Daniel BREUILLER 680 fois » - Denis TRUFFAUT
« Christian METAIRIE 967 fois » - Denis TRUFFAUT
« Soit un total de 2 827 interpellations, pour le seul réseau social Twitter » - Denis TRUFFAUT
« Bravo Madame GUETTA-DELANGE, pour votre persévérance » - Denis TRUFFAUT
« Les personnes concernées ne peuvent donc, en aucune façon, nier qu’elles étaient au courant du problème » - Denis TRUFFAUT
« Et, bien que consciente des nuisances subies par les propriétaires, la municipalité a persisté dans le maintien et l’installation de ces containers » - Denis TRUFFAUT
« Pour ce qui est du dialogue social, de la transparence ou de la démocratie locale, le moins qu’on puisse dire, c’est que le contrat électoral n’est pas rempli » - Denis TRUFFAUT
« Les habitants jugeront votre action, ou plutôt, votre inaction » - Denis TRUFFAUT
« Et encore, nous n’avons à peine évoqué la capacité de ces containers, visiblement sous-évaluée et très insuffisante, et leur prix, de plusieurs dizaines de milliers d’euros par emplacement, encore une fois totalement indécent » - Denis TRUFFAUT
« Puissiez-vous M. Le Maire au travers de cette pétition comprendre enfin ce qu’est la démocratie locale, mais également percevoir les problèmes de salubrité engendrés par votre gestion calamiteuse de l’urbanisme local, car parait-il M. le Maire, que vous seriez un Maire... écologiste » - Denis TRUFFAUT
« Je terminerai cette intervention en vous donnant quelques conseils, puisque en tant en tant que Conseiller Municipal, je suis aussi là pour vous conseiller » - Denis TRUFFAUT
« Voici donc M. le Maire les propositions du Front National pour résoudre le problème d’insalubrité, constant, que connait la commune d’Arcueil : » - Denis TRUFFAUT
« Première proposition : Créer des référendums d’initiative populaire, conformément à l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 » - Denis TRUFFAUT
« Deuxième proposition : Augmenter drastiquement la fréquence de ramassage des ordures, plusieurs fois par jour, et le nettoyage des containers poubelle, ça a été dit, cela va de soi » - Denis TRUFFAUT
« Créer des zones dédiées au stockage des encombrants » - Denis TRUFFAUT
« Instaurer des pénalités en cas de dépôt sauvage, sur le principe “pollueur = payeur” » - Denis TRUFFAUT
« Installer un système de vidéo-protection, afin d’identifier les pollueurs » - Denis TRUFFAUT
« Et créer une police municipale, afin d’appréhender les pollueurs, conformément à l’article Article L2212-2 du Code Général des Collectivités Territoriales, dont voici un court extrait : » - Denis TRUFFAUT
« La police municipale a pour objet d’assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Elle comprend notamment :

1° Tout ce qui intéresse la sûreté et la commodité du passage dans les rues, quais, places et voies publiques, ce qui comprend le nettoiement, l’éclairage, l’enlèvement des encombrements (...etc., etc.) ainsi que le soin de réprimer les dépôts, déversements, déjections, projections de toute matière ou objet de nature à nuire, en quelque manière que ce soit, à la sûreté ou à la commodité du passage ou à la propreté des voies susmentionnées. » - Article L2212-2 du Code Général des Collectivités Territoriales
« Voilà » - Denis TRUFFAUT
« Je crois que c’est clair, il nous faut une police municipale à Arcueil » - Denis TRUFFAUT
Applaudissements des pétitionnaires
Applaudissements des pétitionnaires
« Je vais vous demander de ne pas applaudir » - Daniel BREUILLER
« On est dans une séance de Conseil Municipal » - Daniel BREUILLER
« On est pas dans un spectacle » - Daniel BREUILLER
« Même si M. TRUFFAUT souhaite utiliser cette tribune pour affaire » - Daniel BREUILLER
« Il a pris soin de rappeler ses désirs de police municipale réitérés si fréquemment » - Daniel BREUILLER
« Aussi pour dire, que je n’ai pas de compte Twitter » - Daniel BREUILLER
« Alors je sais qu’il y a un compte twitter breuiller » - Daniel BREUILLER
« Donc, heu, je n’ai pas eu les 680, et ça fera gagner du temps à ceux qui voudraient m’écrire sur le compte Twitter » - Daniel BREUILLER
« Ca n’est pas la peine, ça n’est pas mon compte Twitter » - Daniel BREUILLER
« Vous pouvez toujours m’écrire, évidemment j’pourrai pas répondre puisque je-je n’en ai pas » - Daniel BREUILLER
« J’ai juste une remarque Mme GUETTA-DELANGE » - Daniel BREUILLER
« J’ai demandé si d’autres personnes souhaitaient prendre la parole » - Daniel BREUILLER
« Vous n’avez pas souhaité, donc je vous dis vous êtes en dehors des règles de fonctionnement d’un conseil municipal » - Daniel BREUILLER
« Très bien, alors je m’excuse de ne pas avoir demandé la parole tout à l’heure, mais c’est tout simplement que je ne savais pas par avance ce qui allait se dire » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Par conséquent, j’ai maintenant... j’ai maintenant envie de prendre la parole pour... interférer dans ce qui a été dit » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Voilà, je vous remercie de m’accorder la parole » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Je vais reprendre quelques points » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Alors, vous avez répété, à deux reprises : "On n’a pas attendu" » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Alors je vous ai demandé il y a déjà 2 ans M. le Maire » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Je vous ai interpellé sur le problème des trois containers semi-enterrés implantés à 2 mètres 70 de ma fenêtre » - Déborah GUETTA-DELANGE
« En sachant que les bacs sont à 2 mètres 70, mais la plaque métallique des cuves est à 2 mètres » - Déborah GUETTA-DELANGE
« C’est-à-dire que quand les camions Véolia soulèvent les cuves amovibles, elles sont à 2 mètres, et quand elles se balancent, elles se rapprochent à moins de 2 mètres, vous imaginez bien puisque le container se balance, la cuve se balance » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Donc, heu, "On n’a pas attendu" » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Est-ce que 2 ans, ce n’est pas attendre ? » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Deuxième point, vous avez soulevé le problème de votre compte Twitter, en disant que ça n’était pas votre compte Twitter » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Bon... Ca, ça peut être vérifié » - Déborah GUETTA-DELANGE
« A savoir, est-ce que en Janvier c’était votre compte Twitter ou non ? » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Mais... » - Déborah GUETTA-DELANGE
« J’ai tout de même écrit plus de 20 lettres recommandées accusé de réception, aux personnes qui sont présentes ici, ou qui ne sont pas présentes, dont je peux dire les noms d’ailleurs... » - Déborah GUETTA-DELANGE
« Bon Madame GUETTA-DELANGE, j’vous r’mercie » - Daniel BREUILLER
« Ecoutez, le débat a eu lieu » - Daniel BREUILLER
« Donc j’vous invite, à faire part, en quelques minutes, des remarques que vous avez à faire » - Daniel BREUILLER
« Et la règle n’est pas celle-là » - Daniel BREUILLER
« C’est pas à l’issue du débat du Conseil Municipal que d’le réouvert » - Daniel BREUILLER
« Donc si vous souhaitez dire au conseil Municipal quelques éléments complémentaires, je vous remercie d’le faire » - Daniel BREUILLER
« Les questions de compte Twitter etc. n’ont aucune importance, je vous propose de revenir... » - Daniel BREUILLER
« -Non, mais- » - Déborah GUETTA-DELANGE
« ... aux faits, et à la situation, et à la recherche de solutions » - Daniel BREUILLER
« Si vous avez des propositions à faire, je vous propose de l’faire » - Daniel BREUILLER
« Mais, M. le Maire, toutes les propositions qui étaient faites par le Collectif ont déjà été faites dans toutes mes lettres recommandées qui datent d’il y a 7 mois, et qui ont été envoyées aux différentes personnes et aux auxquelles je n’ai reçu aucune réponse » - Déborah GUETTA-DELANGE
(Le Maire intervient pour interrompre le débat)
« Bien, si (brouhaha inaudible), aucune proposition madame, le débat est clos, je reviens en séance du Conseil Municipal » - Daniel BREUILLER
« Qu’il n’y ait pas de malentendu chez les conseillers » - Daniel BREUILLER
« Puisque l’absence de réponse, oui madame GUETTA-DELANGE a fait des centaines de tweets, heu qui... » - Daniel BREUILLER
« En-en direction de... conseillers » - Daniel BREUILLER
« Non madame, moi j’n’avais pas de compte Twitter » - Daniel BREUILLER
« Mais, sans doute, je sais qu’il y a un compte Twitter Breuiller, puisque beaucoup de gens m’l’ont... m’l’ont signalé » - Daniel BREUILLER
« Heu... Ca n’change rien, bien sûr que vous nous avez informé » - Daniel BREUILLER
« Merci à vous et bonne soirée... » - Daniel BREUILLER