Alors que le commissaire européen aux migrations, Dimitri Avramopoulos, vient d'annoncer un plan visant à faire emménager de force 50 millions de clandestins en Europe, voilà que la municipalité mondialiste d’Arcueil présente une délibération visant à accueillir des migrants dans la commune. Le Front National s'y oppose fermement.
« Heu, donc le point suivant concerne la décision d’engager la commune d’Arcueil dans l’aide aux réfugiés » - Daniel BREUILLER
« Le gouvernement Français a annoncé la décision de participer à cet accueil des réfugiés en accueillant 24 000 personnes au-delà des 9 000 dont la... dont... il avait déjà été pris l’engagement, heu, de-de les accueillir » - Daniel BREUILLER
« C’est aussi en raison des conventions internationales que nous avons signé, une obligation légale que d’assister des demandeurs d’asile » - Daniel BREUILLER
« Les réfugiés seront présents en Ile-de-France » - Daniel BREUILLER
« Je vous propose donc que nous continuions cette tradition généreuse et ouverte, heu, en participant à cet accueil » - Daniel BREUILLER
« Je suis donc certain que nous aurons un accueil... que not Conseil fera un accueil chaleureux... dès lors que nous l’aurons décidé » - Daniel BREUILLER
Le Modem, mouvement de complaisance, choisit de collaborer avec la municipalité :
« Heu... C’est une responsabilité aussi politique qu’on peut assumer, heu... » - Dominique JACQUIN
« Heu... donc on voilà, on accompagne, on accompagnera donc, du mieux possible votre heu... cette heu, cette décision, heu... Qu’on a pris collectivement et qu’on heu... Voilà, on vous rejoins » - Dominique JACQUIN
Le Front National est, dans les faits, la seule force politique osant se dresser contre les sombres desseins de peuplement exogène des socialo-communistes :
« Oui M. le Maire, voilà une question j’en suis sûr, sur laquelle vous attendez, avec impatience, l’intervention du Front National » - Denis TRUFFAUT
(Désaprobation des Conseillers Municipaux de Gauche)
« Non ?! Heu, très bien ! » - Denis TRUFFAUT
(Rires des Conseiller Municipaux de Gauche)
« Je répondrai à cette délibération tout d’abord sur le plan juridique, et puis je rappellerai l’actualité ayant conduit à cette délibération avant d’y apporter une réponse politique » - Denis TRUFFAUT
« M. le Maire, vous évoquez ce soir une certaine “Convention du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés”, une convention que vous employez afin de justifier votre délibération » - Denis TRUFFAUT
« Or cette fameuse “Convention du 28 juillet 1951” s’appelle justement ainsi car elle s’applique uniquement aux réfugiés victimes d’événements survenus avant le 1er janvier 1951 » - Denis TRUFFAUT
« Pour rappel, ce texte a été rédigé avec pour objectif d’octroyer un statut “particulier” aux victimes des persécutions tenues à titre religieux sous la seconde guerre mondiale, il y a un peu plus de 60 ans maintenant » - Denis TRUFFAUT
« Or, sauf erreur, ça n’est pas le cas des clandestins que vous souhaitez nous obliger à accueillir gratuitement dans notre commune » - Denis TRUFFAUT
« Vous n’avez pas fait appel au bon texte de loi, et ce sera là un premier moyen de rejet » - Denis TRUFFAUT
« Par ailleurs, le texte tout à fait prescrit que vous citez, autant d’ailleurs que ses déclinaisons les plus récentes –Puisqu’il y a des déclinaisons plus récentes que vous auriez pu employer– déclarent toutes dans leur article 1, grand A, petit 2, alinéa 2, je cite : » - Denis TRUFFAUT
« Ne sera pas considérée comme privée de la protection du pays dont elle a la nationalité, toute personne qui, sans raison valable fondée sur une crainte justifiée, ne s’est pas réclamée de la protection de l’un des pays dont elle a la nationalité » - Denis TRUFFAUT
« Alors, qu’est-ce que ça veut dire ? » - Denis TRUFFAUT
« L’effet immédiat en fait de ce traité, est que l’on ne peut pas devenir “réfugié” sans au préalable décliner –preuves à l’appui– son identité » - Denis TRUFFAUT
« Puisqu’il en effet se réclamer d’un pays en particulier, pour être éligible au titre de réfugié » - Denis TRUFFAUT
« Le second effet immédiat, qui découle du premier, est l’instauration d’un droit d’asile dit “dérogatoire” » - Denis TRUFFAUT
« Il existe en effet M. le Maire, et je ne vous apprends rien, deux types de droit d’asile : » - Denis TRUFFAUT
« Le droit d’asile axiologique, associé à la libre circulation des personnes, et donc relatif à un accueil que l’on pourrait qualifier d’inconditionnel » - Denis TRUFFAUT
« C’est là une vision mondialiste, qui présente la France comme une espèce de terrain vague dans lequel n’importe qui pourrait venir planter sa tente » - Denis TRUFFAUT
« Et, à l’opposé : » - Denis TRUFFAUT
« Le droit d’asile dérogatoire, qui pose un certain nombre de conditions, et donc autant de prérequis, pour obtenir le statut de réfugié » - Denis TRUFFAUT
« Or, comme le stipule cette fameuse convention, le simple fait de devoir décliner son identité, et donc sa nationalité, pour pouvoir prétendre au statut de réfugié, fait que, de facto, la demande d’obtention du statut de réfugié relève du droit d’asile dérogatoire » - Denis TRUFFAUT
« Et le droit d’asile dérogatoire, comme son nom l’indique, c’est un droit d’asile au cas par cas » - Denis TRUFFAUT
« La question donc, très large, est la suivante : » - Denis TRUFFAUT
« Comment pouvons-nous aujourd’hui, faire appliquer ce principe du droit d’asile dérogatoire, au cas par cas, alors que des centaines de milliers de clandestins sont à nos portes –et parfois même déjà sur notre territoire, vous l’avez rappelé– alors que notre pays est aujourd’hui dépourvu du mécanisme séculaire de régulation migratoire que sont les frontières ? » - Denis TRUFFAUT
« La réponse vous la connaissez : » - Denis TRUFFAUT
« C’est totalement impossible » - Denis TRUFFAUT
« Le droit d’asile dérogatoire présuppose l’existence d’une limite, d’un point géographique au-delà duquel vous avez le droit d’asile, et en dehors duquel vous n’avez pas le droit d’asile » - Denis TRUFFAUT
« En d’autres termes, une douane, une frontière » - Denis TRUFFAUT
« Or, à cause du dogme de la troïka européiste, du libertarisme circulatoire de la droite et de la gauche, notre pays ne peut donc, en aucune façon, appliquer cette convention, car notre pays est dépourvu de frontières » - Denis TRUFFAUT
« Cette convention et celles qui en découlent sont, en pratique, totalement inapplicables » - Denis TRUFFAUT
« Ce sera là un second moyen de rejet » - Denis TRUFFAUT
« L’actualité, maintenant » - Denis TRUFFAUT
« Début septembre, à l’occasion de l’université d’été du Front National, notre présidente, Marine Le Pen, prophétisait l’implosion de l’espace Schengen, cette passoire territoriale qui nous est imposée par l’Union Européenne » - Denis TRUFFAUT
(Rires des Conseillers Municipaux de Gauche)
« Marine Le Pen, dans sa grande sagesse et dans sa grande perspicacité, a demandé en qualité de député Européen la suspension immédiate de l’espace Schengen, et en sa qualité de leader de l’opposition, les sondages le démontrent, le rétablissement, au plus vite, des contrôles d’identité aux frontières nationales, c’est-à-dire aux frontières françaises » - Denis TRUFFAUT
(Agacement des Conseillers Municipaux de Gauche)
« Face à la submersion migratoire, face à cette véritable marée noire immigrationniste, la plupart de nos pays voisins ont pris une position identique à celle du Front National, en engageant des mesures d’urgence afin de maîtriser et de canaliser les torrents incessants de clandestins déferlant sur nos territoires » - Denis TRUFFAUT
« C’est ainsi que l’Allemagne, l’Autriche, la République tchèque, la Slovaquie et la Hongrie ont réagi avec célérité et pragmatisme en rétablissant les contrôles d’identité à leurs frontières respectives » - Denis TRUFFAUT
« L’Autriche et la Hongrie, débordées de toutes parts, ont même annoncé qu’elles allaient recourir à l’armée, afin de contenir le tsunami migratoire auquel elles sont exposées » - Denis TRUFFAUT
« Au lieu de prendre la mesure de la gravité de la situation, la gauche a pris sur elle de mettre la République à plat ventre devant les clandestins » - Denis TRUFFAUT
« On a tout d’abord vu Madame Hidalgo, la mairesse de Paris, souhaiter la bienvenue aux clandestins avec des inscriptions en arabe » - Denis TRUFFAUT
« Puis on a vu ensuite, sur France 2, le gouvernement socialiste tenter de débaucher des migrants –comme si on n’en avait pas déjà assez chez nous– dans des pays frontaliers, en Allemagne, avec des tracts, encore une fois, rédigés en arabe » - Denis TRUFFAUT
« Je rappelle ici au passage l’alinéa 1 de l’article 2 de la Constitution du 4 octobre 1958 : » - Denis TRUFFAUT
« La langue de la République est le Français » - Denis TRUFFAUT
« Le Français... Et non l’arabe » - Denis TRUFFAUT
« Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’assimilation commence mal » - Denis TRUFFAUT
« –Si tant est que l’on ait envie d’assimiler, heu-heu, ces clandestins, bien sûr– » - Denis TRUFFAUT
« Quitte à vouloir parler arabe, on aurait au moins pu penser que ces prétendus réfugiés syriens –prétendus car sachez-le, il faut en effet moins de 40 heures pour obtenir un faux passeport syrien–, que ces prétendus réfugiés syriens trouvent asile dans un pays arabe, là où l’on parle arabe » - Denis TRUFFAUT
« Par exemple, l’Arabie Saoudite, un pays où l’on parle arabe, à proximité de la Syrie, accessible depuis la terre, donc sans aucun risque de noyade, et surtout un pays qui vient, aussi curieux que cela puisse paraitre, d’être nommé, eh oui, à la tête d’un groupe qui propose des experts pour le Conseil des Droits de l’Homme » - Denis TRUFFAUT
« Eh bien non, l’Arabie Saoudite ne veut pas de réfugiés » - Denis TRUFFAUT
« A la place, l’Arabie Saoudite se propose de construire 200 mosquées en Europe » - Denis TRUFFAUT
« Une déclaration qui n’a pas manqué d’interpeler Lech WALESA, de nationalité polonaise, prix Nobel de la Paix en 1983, qui s’exprimait, je cite, en ces mots : » - Denis TRUFFAUT
« La Pologne et l’Europe ont de quoi s’inquiéter de l’afflux de migrants » - Lech WALESA
« Ils viennent de pays où des gens sont décapités » - Lech WALESA
« Il va nous arriver la même chose » - Lech WALESA
« C’est un véritable problème » - Lech WALESA
« Si l’Europe ne ferme pas ses frontières, des millions de migrants vont venir ici et ils n’hésiteront pas à imposer leurs coutumes, y compris les décapitations » - Lech WALESA
« Une déclaration également, qui n’a pas manqué d’inquiéter les services de renseignement intérieur allemands, qui se sont dits récemment, et je cite là un article du journal Le Figaro paru ce mardi : » - Denis TRUFFAUT
« préoccupés par des tentatives de la mouvance islamiste radicale de recruter parmi les centaines de milliers de migrants arrivant dans le pays. » - Le Figaro
« Le fait que des islamistes, sous couvert d’aide humanitaire tentent de détourner à leurs fins la situation des réfugiés en faisant du prosélytisme et en tentant de recruter, nous préoccupe grandement, a indiqué l’office de renseignement intérieur allemand dans un communiqué » - Le Figaro
« Et en France, alors que se passe-t-il ? » - Denis TRUFFAUT
« Malgré le fait que la France ait été victime des attentats de Charlie Hebdo en début d’année, malgré le fait que notre pays soit la cible de quasiment un attentat terroriste par mois, eh bien non, on ne veut rien voir » - Denis TRUFFAUT
« Voilà désormais que le gouvernement socialiste officialise la fameuse “rumeur du 93” –qui d’ailleurs était qualifiée de rumeur il y a maintenant 2 ans et qui aujourd’hui est officialisée par le gouvernement– en donnant à tous les Maires de France 1000 euros... 1000 euros par clandestin pris en charge dans leur ville » - Denis TRUFFAUT
« Et que lorsqu’un courageux Maire Front National, Julien Sanchez, tente de dénoncer cette véritable préférence à l’étranger qui est organisée dans notre pays, son micro est arraché par un préfet » - Denis TRUFFAUT
« –Le préfet qui est un agent administratif et qui je le rappelle a une obligation de réserve et qui n’a pas à se comporter en qualité de militant politique– » - Denis TRUFFAUT
« Voilà désormais que le gouvernement socialiste nous annonce que 77 000 logements sociaux vont être réquisitionnés pour loger les clandestins » - Denis TRUFFAUT
« Voilà ce soir, le Maire d’Arcueil, qui nous annonce qu’il prendra part à ce dispositif donnant la priorité aux étrangers en hébergeant dans notre commune des migrants » - Denis TRUFFAUT
« Mais, rien que dans notre ville M. le Maire, il y a des dizaines et des dizaines d’Arcueillais, des Français, qui attendent un logement social, ici à Arcueil... parfois depuis plus de dix ans » - Denis TRUFFAUT
« Et la priorité du Maire, c’est quoi ? » - Denis TRUFFAUT
« Donner un logement social aux étrangers ! » - Denis TRUFFAUT
« Franchement... » - Denis TRUFFAUT
(Commentaires des Conseillers Municipaux de Gauche)
« C’est une gestion des priorités, qui, je crois M. le Maire, laissera perplexe plus d’un de nos concitoyens » - Denis TRUFFAUT
« Il y a dans notre pays : » - Denis TRUFFAUT
« 1.5 million de Français en attente d’un logement social » - Denis TRUFFAUT
« 3.5 millions de mal logés » - Denis TRUFFAUT
« 5 millions de chômeurs » - Denis TRUFFAUT
« 10 millions de pauvres » - Denis TRUFFAUT
« M. le Maire... Je suis responsable politique... et patriote avant tout » - Denis TRUFFAUT
« Et à ce titre, je considère que les Français ne doivent PAS être les derniers servis dans leur propre pays » - Denis TRUFFAUT
« Et c’est la raison pour laquelle M. le Maire, le Front National votera CONTRE cette délibération » - Denis TRUFFAUT
La suite des débats ne peut hélas être diffusée.
En effet, malgré une demande en bonne et due forme, les enregistrements suivants (dont la scandaleuse réponse de la municipalité) n'ont jamais été communiqués à l'opposition.
Pour justifier l'absence de ces enregistrements, le cabinet du Maire a informé le Front National, dans une lettre datée du 5 octobre, qu'en raison d'un problème de nature inconnue, l'enregistrement audio du Conseil Municipal se serait arrêté, de lui-même, tout seul, juste avant l'intervention du Maire... Comme par hasard.
Quelque soit l'excuse avancée, ce manquement constitue une violation directe du principe de transparence des débats, de la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978, de l'article L2121-13 du Code Général des Collectivités Territoriales ainsi que de l'article 14 du règlement intérieur régissant le fonctionnement du Conseil Municipal.